Après les Etats-Unis et le Canada, le fabricant américain du fameux boitier multimédia ROKU, se lance à la conquête de l’Europe.
Malgré l’hégémonie des offres des fournisseurs d’accès à internet bien installées en France, Roku compte se faire une place avec de solides arguments.
Contrairement à ses concurrents américains comme Apple, Google ou Amazon, ce fabricant n’a pas souhaité développer son propre écosystème. Son appareil accepte tous les services tiers tels que Netflix, YouTube, Deezer, assurant un large choix à l’utilisateur.
Le Channels Store propose déjà plus de 1500 services en France comme Spotify, Videofutur, Arte ou Radionomy, le premier agrégateur mondial de radios digitales. A noter que celui-ci vient de lancer avec succès son application sur cette plateforme permettant d’écouter des milliers de programmes musicaux. « Notre objectif est d’offrir la meilleure expérience d’écoute et le meilleur de la radio aux personnes connectées à travers le monde. Afin d’y parvenir, nous continuons à travailler sur des développements avec les acteurs majeurs du secteur », a déclaré Thierry Ascarez, responsable du Business Development pour Radionomy Group.
Roku se place en tête des audiences de consommation avec plus de 60 heures de programme mensuelles, pour un total de 3 milliards d’heures mensuelles, loin devant les autres acteurs du marché.
Trois appareils sont proposés en France : le Roku Streaming Stick sous forme de clé HDMI au prix de 55 euros, le Roku 2 bénéficiant d’un port USB, Ethernet et Wi-Fi à 90 eurs et le Roku 3 avec une télécommande Bluetooth accompagnée d’une prise jack permettant de brancher un casque audio au prix de 120 euros. Tous les trois bénéficient du système d’exploitation maison Roku OS7 très performant et régulièrement mis à jour.
• Plus d’infos : https://www.roku.com/fr-fr/