Leonardo DiCaprio aborde avec Franck Rousseau, le correspondant de la radio digitale Néoplanète, les attentats de Paris, la production industrielle de diamants de synthèse, sa définition du paradis terrestre et l’endroit où il aimerait se rendre lorsque il veut fuir Hollywood.
Extraits de l’interview :
« Ce qui est arrivé à Paris est manifestement et pour plusieurs raisons une tragédie ! Une tragédie qui, hélas, ne fait que commencer car j’ai bien peur que nous en vivions encore d’autres dans les années à venir ! Pour en revenir à la Conférence sur le climat, on espère qu’il y aura un million de personnes qui marchera dans les rues afin d’exiger un vrai changement dans les lois, de vraies ratifications. »
« Je mène en effet une vie qui va tellement vite, une vie tellement confuse. Pour autant, je ne suis pas en particulier la personne la plus spirituelle qui soit ou quelqu’un qui aime méditer, mais je dois dire que j’ai besoin de ces moments de contemplation pour trouver la bonne réponse. J’en ai besoin pour noyer ces bruits que ce monde peut infuser, distiller dans mon esprit. »
« L’un des voyages les plus beaux que j’ai pu réaliser, c’était de descendre l’Amazone ! Je constate d’ailleurs que c’est toujours des voyages loin de la civilisation. Quand je me rends-là bas, cela me rappelle ma jeunesse, quand, enfant, je rêvais de me retrouver à l’époque de la préhistoire au milieu d’une nature pure et inviolée ! »
« J’investis essentiellement dans les choses qui ont un impact et réduisent les dégâts environnementaux que l’on peut causer à la planète. J’ai eu un jour une conversation avec cette entreprise qui pouvait créer des diamants sans avoir à utiliser les ressources minières d’extraction et sans polluer. »
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